Détecter les changements grâce aux données 3D LiDAR HD
L'offre produits LiDAR HD
Des informations 3D très précises et classées par thèmes sur la topographie du sol et du sursol
Les données issues du programme national LiDAR HD répondent à vos différents besoins en matière de production et mise à jour de l'information géographique :
distinguer de façon automatisée les éléments qui composent le paysage (bâtiments, infrastructures routières, chemins, haies…)
créer de nouveaux objets vectoriels précis en 3D prêts à être intégrés dans des bases de données géographiques
détecter des évolutions liées aux phénomènes naturels (érosion, glissements de terrain) et aux activités humaines (construction / destruction de bâtiments ou d’infrastructures, modification paysagère, ...)
recaler géométriquement des routes, chemins et écoulements, sous couvert forestier
Vous êtes une plateforme régionale d’information géographique, une collectivité, un service de l’État ou tout autre producteur d'information géograhique...
Accélérer la mise à jour des référentiels cartographiques
Les données LiDAR HD classées sont exploitées en production pour faciliter la mise à jour la couche bâtiment de la BD TOPO® grâce à la détection de créations et de suppressions de bâtiments.
Nuage de points classés
Import des bâtiments LiDAR depuis la Base LiDAR HD après vectorisation
Import des bâtiments BD TOPO depuis la base IGN après vectorisation
Proposition de création de nouveaux bâtiments après comparaison des vecteurs
La vectorisation de la classe bâtiment du nuage de points classifié est réalisé avec l’outil TerraScan. À l’issue de cette vectorisation, on obtient des volumes 3D de bâtiments décomposés en trois couches (toit, mur et emprise). Ces derniers sont stockés dans une base de données 3D. Un processus de détection de changement a ensuite été construit ensuite avec le logiciel FME. Une comparaison spatiale des vecteurs permet ensuite de détecter les créations et les suppressions de bâtiments pour mettre à jour le socle de données BD TOPO®.
Après une phase de test, ce processus a montré son efficacité, notamment sur sa capacité à réduire les phases de recherche de création/suppression d‘objets. Il est actuellement déployé de façon opérationnelle en production.
« C’est la première fois que l’IGN est capable de produire en continu automatiquement une couche de bâtiments en 3D », Alexandre Leonardi, chef du service vecteur et 3D de l’IGN
